dimanche 2 octobre 2016

Inondations à Cotonou (Bénin)

Cotonou dans l’eau

La grande pluie qui s’est abattue sur la ville de Cotonou dans la nuit du samedi au dimanche 02 octobre a causés de nombreux dégâts dans certains quartiers de la ville.
    
           Cotonou, (capitale économique du Bénin ) s’est transformé en un fleuve très tôt ce matin. Cette plus qui au début avait l’air d’une petite pluie à presque tout dégradé dans la ville. L’accès dans la ville de Cotonou est devenu un calvaire pour les usagers des routes ce matin. Certaines routes comme celle qui quitte le carrefour Adjaha pour Godomey en passant par Agla est inaccessible. Depuis un bon moment, les usagers et riverains de cette voie se plaignent de l’état que présente la voie après chaque pluie. Malgré les efforts et travaux menés par les autorités de la mairie de Cotonou pour l’aménagement de cette voie afin de soulager la peine de la population riveraines, celle-ci maintien toujours son aspect inondé après chaque pluie. En dehors de cette voie, d’autres ont été sauvagement inondées suite à cette pluie, c’est le cas de la voie de Zogbo. Une voie qui n’a jamais montré ce visage auparavant mais qui suite à cette pluie est devenue un lac inimaginable… Cet état inondé que présente certaines routes de Cotonou après cette pluie imprévue créée des conditions difficiles aux engins à deux roues. La circulation est difficile, les moteurs d’engins se noient dans l’eau, les voiture s’enfonce davantage dans l’eau au fur et à mesure qu’elles évolues. La situation telle que ça se présente devient de plus en plus critique, la population de Cotonou vie un enfer après chaque grande pluie.

    
          

samedi 5 mars 2016

les meetings electoraux



Les meetings en périodes électorales

Les militants: une autre force pour AJAVON

Une victoire éclatante et limpide ne peut se réaliser sans la contribution et la participation d’hommes et de femmes dynamiques c’est ce qu’a compris Sébastien AJAVON, candidat à l’élection présidentielle 2016 qui a fait une descente ce lundi 22 février sur le terrain de sport de l’école primaire publique Vedoko 3 où l’attendaient impatiemment bon nombre de militant. Ils veulent entre autre lui apporter leur soutient afin qu’il puisse rejoindre le fauteuil de la MARINA le 6 avril prochain.

 Mobilisation des militants
       
        Ils sont nombreux les militants qui l’attendaient ce matin à 9h dans le sable du terrain de sport de vedoko. Ces militants parlent de leur candidat et des autres. En T-shirt bleu ils espèrent bien l’arrivé de leur candidat qui met déjà assez de temps à venir.
       
         A 12h Sébastien AJAVON n’est toujours pas là. La tension a  commencé par monter petit à petit au sein de la foule. Composée majoritairement de femmes,ils n'ont pas manqué à se plaindre car la chaleur bat déjà son plein. Plantés sous un soleil accablant et les pieds trainant dans un sable hyper chaud, les militants manifestent leurs colères.C’est le cas de monsieur jean baptiste qui s’exprime « nous sommes ici depuis le matin ; moi particulièrement je suis venu ici tôt. C’est depuis 8h que je suis ici. Ce n’est pas bien d’organiser un meeting qui doit débuter à 9heures  et jusqu’à 13heures  le candidat n’est pas encore présent sur les lieux. C’est mon candidat mais moi je ne trouve pas en lui un homme ponctuel.Les responsables d’organisation du meeting quant à  eux n’ont qu’une seule tache, c’est d’apaiser cette foule immense envahit par la colère. Malgré la consolation, la foule manifeste toujours sa colère. Vers 14heures et quart, pendant que certains individus résistent encore à la chaleur, d’autres rentraient.

L’arrivé du candidat Sébastien AJAVON

       Sébastien AJAVON, le présidentiable qu’une foule  immense attendait est enfin là.vétu en Bazin blanc, l’homme descend de son véhicule. Tout d'abord,c'est les responsables d'organisations du meeting qui l'ont accueilli. Il sonnait environ 15heures 02 minutes  quand AJAVON fait son entrée sur le terrain de sport ; une entrée accompagnée des cris et des ovations venant de la part du public. Quelques minutes après son installation, l’operateur économique partage avec ses militants du dixième arrondissement les raisons qui l’ont conduit à poser sa candidature et sa vision pour le Benin. Il n’a pas mis du temps à présenter son programme de société au public. Comprenant son message, ses militants l’ovationne a chaque fin de parole. Après avoir accomplit sa mission dans le dixième arrondissement de Cotonou, Sébastien AJAVON se retire mais les militants quant à eux n’ont pas bougé un pas.

La distribution de l’argent
        
         Le moment qu’ils attendaient est venu ; c’est le partage du pain. Ce moment étant crucial pour ces militants, ils n’ont pas du tout tardé à s’approcher auprès des responsable pour réclamer ce pourquoi ils étaient là depuis le matin.
       
         Dans un brouhaha, les militants réclament leurs argents ; il s’agit d’une somme de deux milles francs CFA. Certains l’ont eu d’autres non. C’est le début d’un autre mécontentement. La tension étant trop élevée, ces militants qui n’ont pas pu recevoir leurs miettes, pour manifester leurs colères n’ont pas hésité à insulter les responsables et même à s’insulter entre eux. Ne pouvant rien faire à la fin, ils ont pris chacun le chemin respectif de leur maison. Roger, un vendeur d’essence de contrebande, présent sur le lieu n’a pas apprécié le meeting. Il renverse toute sa colère sur le candidat et les membres d’organisation.
         
           A 17 heures, tout le monde est rentré et le terrain devient vide remplis des sachets d’eau et des affiches du candidat AJAVON. Les bâches, les chaises en plastique, tout ont été dégagé et le terrain de sport qui était bondé de monde devient un cimetière.

Les petites activités commerciales lors du meeting
         
          Si beaucoup sont là pour AJAVON, d’autres femmes sont venus pour se faire de l’argent. Elles n’ont qu’un seul souci, c’est vendre pour encaisser plus de sous. Parmi ces femmes battantes, il y a les vendeuses de l’eau fraiche communément appelé pur-water qui sont dominant et aussi les vendeuses du pain. Les lieux de meetings deviennent alors un marché pour ces bonnes dames.





vendredi 19 février 2016

L'état des routes à cotonou (BENIN)



REGARD SUR L’ÉTAT DES ROUTES ET EMBOUTEILLAGE A COTONOU (BÉNIN)
  
Cotonou, la capitale économique du Bénin est une ville où le taux de croissance démographique est plus élevée. Pour qu'il aie une bonne circulation des personnes et des bien l’État béninois a assez investi dans la construction des infrastructures routière car "la route du développement passe par le développement de la route dit-on". Cependant, on constate aujourd'hui que certaines routes sont complètement dégradées d'autre dans un état plus ou moins critique. En saison pluvieuse par exemple, l'axe Adjaha - Agla se transforme en un fleuve artificielle; les caniveaux et toute la voie sont couvert d'eau. Outre la dégradation des voies nous observons également un phénomène très fatiguant qu'est l'embouteillage. L’embouteillage est très fréquent sur les grandes routes de Cotonou. Au carrefour Toyota, la circulation est très dense et les matins et les soirs.la voie quittant le passage supérieur de houeyiho pour le carrefour Toyota est hyper encombré; les voitures s'alignent l'une derrière l'autre. Certains usagés de ces routes se plaignent parfois, d’autres s'insulte entre eux. Voilà quelques problèmes qui minent le sous-secteur routier au Bénin.


mercredi 17 février 2016

MA BIOGRAPHIE

Ma biographie

mercredi 17 février 2016

BALOGOUN Kamilou




Je suis né le 23 octobre 1996 à Cotonou dans le département du littoral (BENIN) d’un père béninois et d'une mère togolaise, j’ai subi une vie familiale studieuse et non caporalisé.je suis rentré dans l’école primaire en 2000.j'ai fait mes cours primaire dans une école privée où j'ai obtenu mon certificat d’étude primaire (CEP) en 2007.garçon dynamique et conscient de mon avenir, j’ai poursuivi mes études jusqu'au cours secondaires. J’ai fait mon premier cycle au complexe scolaire SCHEKINA -école située dans le 10eme arrondissement de Cotonou - où en fin de premier cycle j'ai obtenue mon brevet d'étude du premier cycle (BEPC). major de ma promotion, je me retrouvais dans un peloton de tète. J’ai fini mon second cycle dans ce même collège où j'ai obtenu mon diplôme de baccalauréat série B (lettre et science social) en 2015.toujours dans cette course irréversible pour un avenir plus ou moins radieux, je poursuis aujourd'hui mes études supérieures à l'institut supérieure des métiers de l'audiovisuel (ISMA) du bénin où je suis dans la marche pour l'obtention d'une licence professionnelle en journalisme audiovisuel.